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Les cent Louis d'or

Sur l'air de la chanson du même titre, de Pierre Dupont (1846) -


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Pierre Perret


Le Plaisir de Dieux (Complet)


[Re] Un jour, étant en diligen-en-en-en-en- [La7] ce
Sur une route entre deux [Re] bois

Je branlais avec assuran-an-an-an-an-[La7] ce
Une fillette au frais mi [Re] nois.

J'a [Sol] vais retroussé sa chemi [Re] se
Et-et mis le [La7] doigt sur son bou [Mi] ton,
Et je bandais malgré la bise
A déchirer mon panta [La7] lon.

Pour un quart d'heure entre ses [Re] cuis-ses
Un prince eût [Mi] donné son tré [La7] sor,

Et moi j'au [Re] rais, Dieu me bénis [La7] se
J'aurais don [Re] né cent [La7] lou-is [RE] d'or !

Las de branler sans résistance
La tête en feu, la pine aussi
Je pris sa main - quelle indécence ! -
Et la mis en forme d'étui.
Je jouissais à perdre haleine
Je-e déchargeai, quel embarras !
Sa main, sa robe en étaient pleines
Et cela ne suffisait pas.
Sentant se rallumer ma fournaise
je lui dis : " Tiens fais plus encore,
Sortons d'ici que je te baise
Je te donne cent Lou-is d'or ! "

La belle, alors, toute confuse
Me répondis ingénument
" - Pardon, monsieur, si je refuse
Ce que vous m'offrez galamment,
Mais j'ai juré de rester sage
Pou-our mon fiancé, mon mari
De conserver mon pucelage,
Il ne sera jamais qu'à lui."
"- Tu n'auras pas le ridicule,
Dis-je, d'arrêter mon essor,
Permets au moins que je t'encule,
Je te promets cent lou-is d'or ! "

Au premier relais, sur la route,
Nous descendîmes promptement,
"- En cul, il faut que je te foute
Ne pouvant te foutre autrement ! "
Dans une auberge nous entrâmes
Tou-out s'y trouvait : bon feu, bon lit,
Brûlant d'amour, nous nous couchâmes,
Je l'enculai toute la nuit
Mais pour changer de jouissance
Je lui dis : " Tiens ! fais plus encore,
Livre ton con, et tout d'avance
Je te promets cent lou-is d'or ! "

" - Je veux bien, sans plus de harangue
Dit-elle, en me suçant le gland
Livrer mon con à votre langue,
Pour ne pas trahir mon serment. "
Aussitôt, placés tête bêche,
Comme deux amants dans un lit,
Avec ardeur, moi je la lèche,
Pendant qu'elle suce mon vit.
Mais la voyant bientôt pâmée
Je puis lui ravir son trésor
Et je me dis, la pine entrée,
" Je gagne mes cent lou-is d'or ! "

Huit jours après cette aventure
J'étais de retour à Paris,
Ne prenant plus de nourriture,
Restant tout pensif au logis
A la gorge, ainsi qu'à la pine,
J'avais, - c'était inquiétant -
Chancres, poulains, on le devine,
Et chaude pisse en même temps.
Prenant le parti le plus sage,
Je me transportai chez Ricord
Qui me dit : " - Un tel pucelage,
Vous coûtera cent lou-is d'or ! "
































Cette chanson existe sur les CD suivants :


Pierre Perret Trésors de la paillardise



Réveillon paillard

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