Combien j'ai douce souvenance
De nos amours, ô ma Clémence
Ces jours à jamais effacés
J'y pense
Où sont nos coïts insensés
Passés ?
Te souviens tu lorsque ma pine
Luxuriante et libertine
Entre tes lèvres se glissant
Coquine
Tu me suçais en rougissant
Souvent...
Dis moi, te souvient-il encor
De ces caresses que j'adore
Ma langue avide en frémissant
Dévore
Ton clitoris rose et dardant
Son gland ?
De souvient-il du tour agile
De notre tête bêche habile
Quand ma langue, du cul au con
Docile
Répondait à ton postillon
Mignon ?
Te souvient-il de ta sœur Luce
Qui me branlotait le prépuce
Pendant que toi tu lui mettais
En puce
Ta langue au con et lui faisait
Minet ?
Oh ! qui nous rendra nos foutries
Nos jouissances, nos orgies !
Oh ! Qui nous rendra ces amours
Jolies
Qui doraient nos nuits et nos jours
Toujours.