L'Histoire de France n'est qu'une histoire de fesses !
Texte : Patrick Jaymes/Musique : Paul Glaeser -
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Top des chansons cochonnes vol 4
REFRAIN:
L'Histoire de France n'est qu'une histoire de fesses
De chaudes-lances de foutre et de gonzesses
L'Histoire de France n'est qu'une histoire de fesses
Quand elle y pense, Marianne s'en confesse !
Déjà au temps préhistorique « Un qui la tient
deux qui la niquent ! »
L'homme érectus de Cro-Magnon Adorait s'faire sucer le jonc
Il sortait sa grosse biroute De son slip en poils de mammouth
Et tout en taillant des silex, De sa femme, il bourrait le sexe !
Chez nos ancêtres les Gaulois, On n'jurait que par Toutatis
Mais au pieu, dans leur hutte en bois, Ils adoraient le dieu Pénis
Montés comme de vrais sangliers, Les druides aimaient cueillir
du gui
Mais surtout se faire éponger Par toutes les pucelles du pays
!
Au Moyen Age, les troubadours, Mandoline et pines de velours
Prenaient par devant, par derrière, Autant de princes que de
bergères
Chevaliers bardés de quéquettes Et damoiselles aux gros
nichons
Du donjon, jusqu'aux oubliettes, C'était le bordel, le boxon
!
Les pages de François 1er Passaient leur temps à s'enculer
Henri IV dans sa poule au pot, Aimait se dégorger l'poireau
Le Cardinal de Richelieu Se masturbait sous son prie-dieu
Quant à nos quatre mousquetaires, Ils partouzèrent des
nuits entières
REFRAIN
On dit qu'les couilles du Roi Soleil Firent en leur temps de vraies
merveilles
Et qu'le barbu d'ses favorites Avait pris la forme de sa bite
Le soir, à la Cour de Versailles, Mille morpions livraient bataille
Quand Louis XIV, par gourmandise, Bouffait le cul d'une marquise !
Puis, arrivèrent les sans-culottes, Joyeux branleurs de guillotines
De Marat, sa pute Charlotte Qui trop cocue, nous l'assassine
Se tenant par les roubignolles, Les gens dansaient la Carmagnole
Et pour mieux prendre la bastille, On fit foutre à poil toutes
les filles !
REFRAIN
Napoléon et ses hussards Faisaient des concours de braquemarts
Et le trou d'balle de ses grognards Fumait autant qu'à Trafalgar
Les putains de la Belle époque Étaient vicieuses mais
vérolées
Si bien qu'avant d'les ramoner, Les bourgeois chiaient dans leur froc
!